La Débauche de Lucie

La semaine passe, nous échangeons par téléphone. Je lui raconte mon épilation il est fou de joie. C'est le week-end nous nous sommes mis d'accord pour une rencontre dimanche. Samedi à 18h il sonne à ma porte. Je suis la en short T-shirt et sweat après midi tranquille. Il n'est pas seul un jeune homme le suis.

Luce je te présente François un ami de la voile. François Lucie une amie. Nous nous asseyons dans le salon. On discute voile régate. François est un étudiant de 20 ans, très doué lors des régates. Soudain Pierre me demande alors que je passe près de lui. Alors Luce tu es lisse maintenant

-"Je rougie. Euh Euh oui. Enfin Pierre"

-"Luce tu n'a pas de honte à avoir. Tu as la chatte épilée."

François me regarde l'œil intéressé. "

-"Il se lève et m'accompagne au milieu de du salon. Il glisse sa main dans mon short j'essaye de le retenir. "

-"Non que fais tu? "

-"Je vérifie. Humm, cela à l'air correct."

-"Mais je veux être sur allez retire moi cette stupide culotte que tu portes. "

-"Non mais ... oui Pierre "

-"Non! Là ici!! Déshabille toi. "

-"Et François dis je le regardant"

-"Il est venu pour toi Luce. Regarde son jeune dard..."

Je suis de nouveau paralysée par ce mélange de peur et de désir. J'obéie;

Nue je suis nue devant pierre et François; Allez montre lui comment tu marches à quatre pattes. Approches toi de lui. François à déjà sortie son sexe. Il m'ordonne suce moi salope.

Je le suce lentement pierre assis sur ma table basse me doigte copieusement. Jouant de ces doigts sur mes lèvres et mon clito. Il s'arrête j'essaye de me retourner la main de François me fait comprendre que je dois l'astiquer.

Je sent un froid intense je lâche le sexe et tente de me redresser il me maintienne à quatre pattes Pierre m'annonce qu'il a sortit les magnums restant. Le premier va servir à te refroidir jeune soumise un peu trop chaude. Il me l'applique sur les fesses le bas du dos. Je frissonne.

Mes lèvres sur le dard de François je ne pense plus. Mes lèvres l'aspirent pendant que ma langue s'enroule. Mes lèvres quittent son gland.

-"Reprend le allez juste avec ta bouche. "

Je m'exécute, je le gobe. La glace vient fondre sur mes seins. Pierre s'extasie devant mes tétons sur lesquels il applique ce chocolat fondant. Ses mains pétrissent mes seins et étalent cette substance.

Pierre arrête la le jeu. Luce de vide pas François tout de suite. Arrête de le sucer viens donc finir ce Magnum. Ils me redressent Pierre me tend cette glace à moitié fondue. Je sors ma langue puis je le prends à pleine bouche. Je suis la nue maculée de crème glacée. Ils m'admirent tous les deux les yeux brillants, la langue sortie.

-"Luce tu es magnifique. Crie Pierre dans mon appartement. Tu es devenue perverse et tu aimes cela."

Je suce la glace. Je les regarde ils se déshabillent. Pierre est beau. François musclé plus sec, tout en muscles. Pierre lui fait signe il sort du salon et reviens une boite de capote à la main. Je fini la glace.

François passe la boite à Pierre qui la lance par terre. Lucie pose se bâtonnet et attrape moi une capote.

Je le fais je me baisse sort le préservatif enveloppé dans son emballage de la boite lorsque je me redressent je me trouve nez à nez avec le sexe de pierre.

Vas y, Luce équipes moi.

Mes mains tremblent. J'attrape son sexe qui grossit à vue d'oeil et le plus délicatement je glisse le préservatif sur son pénis. D'une geste de la main je me retrouve assise sur le sol. Les jambes écartées. Pierre s'agenouille, il joue un instant avec mon clitoris, effleure mes lèvres. Je ferme les yeux. Finalement, son sexe investit mon vagin. D'abord lent il accélère peu à peu, intensifiant ses mouvement, je suis envahie de plaisir et sensation bizarre. Il s'arrete se retire se place à coté lèche me seins, m'embrasse. Je ne pense plus...

-"François, dis t il ne reste pas à mater. Viens te servir."

François n'attendait que cela. Il est sur moi, dans moi .Ma langue est toujours avec celle de pierre je ferme les yeux. Le rythme est rapide; tendus. Il fait naître dans mon ventre des vagues de plaisirs inconnus. Je recule sous les coups portés. Je crie...de plaisir. Il ne me lime jusqu'à son plaisir. Pierre est la. ses doigts jouent avec la pointe de mes seins enduit de chocolat. Il me fait goûter ses doigts.

François se lève, pierre lui indique la salle de bain. Pierre me murmure à l'oreille. Je reprend mes esprits lorsque Pierre me propose d'aller me doucher.

Sous la douche j'ai froid chaud je ne sais plus...Je ne pense plus.

Lorsque je reviens le salon à retrouver une allure présentable, même si il reste des taches de chocolat. Ils sont nus, moi qui avait passée une robe de chambre je comprend que cela n'était qu'un apéritif. En effet Pierre me retire ma robe de chambre.

-"Luce, tu nous à donner faim si tu réchauffais une pizza?

-"D'accord, "

-"François me suis à la cuisine, Il m'embrasse je ne le repousse pas. "

-"Luce tu es bonne, dépêches toi de nous faire à bouffer." Pierre nous regarde à la porte de la cuisine.

Nous mangeons, tous les trois nu, parlant peu. Les mains baladeuses de mes deux males ne s'arrêtent pas. Une fois la dernière part avalée. Pierre me prend par la main et m'emmène dans la chambre. François nous suit.

Je succombe aux baisers de Pierre. Il aspire mes seins, titillant mes tétons. Ils me placent à quatre pattes. François caresse mon ventre, mes fesses, glissant ses doigts les long de ma raie.

-"Tu imagines François, Luce est vierge du cul"

-"Délicieuse, je peux y goûter"

-" Non, je vais d'abord la préparer"

Pierre le rejoint, écarte mes fesses. Pierre enfile un préservatif. Il utilise ses doigts. Je rechigne un peu mais François qui à glisser sous moi me mordille les seins.

Pierre place son gland au niveau de mon anus. Sous une poussée décidée, mon sphincter commence par se contracter par réflexe, puis finit par s'ouvrir, vaincu. Le gland est entré, ça y est. Pierre me pénètre millimètre par millimètre. Je ressens un peu de douleur, mais qui très vite, alors que mon anus se détend et ne s'oppose plus au va-et-vient. Il me pénètre encore plus profondément, encore plus vite. Je hurle. François m'embrasse étouffant mes cries. Je laisse couler quelques larmes. Pierre jouie, il tape mes fesses.

-"Luce j'ai eu ton cul, ouiii. "

La sueur nous envahie, Pierre se retire je me roule à coté de lui. François fait de même nous nous endormons. Je me réveille lors qu'ils se lèvent un baiser de chacun je m'effondre. La sensation du bonheur.Je passe le dimanche à penser à mes amants.